• Lire aussi : Le bon moment : la pige QS en santé publique “Je confirme que les nouveaux propos tenus par le candidat, notamment au Premier ministre, ont été portés à notre connaissance et nous avons rapidement demandé au candidat de se retirer”, a écrit mercredi soir Stéphanie Guèvremont, directrice de la communication de campagne. “Ce n’est pas le genre de campagne que nous voulons mener”, a-t-il ajouté. Le parti ne donne pas de détails sur les déclarations en question, mais selon un cliché daté du 30 mai circulant en ligne, M. Girard a affirmé sur Facebook : « Le Premier ministre est suprématiste blanc. Il est désormais légitime de traiter les caquistes comme des nazis. Il a réagi à une déclaration de François Legault sur la « lucianisation » du Québec. Au PQ aussi La veille, le site La clique du Plateau, publiait un autre tweet où M. Girard disait : « Moi et camarades le 3 octobre. Nous enterrons les traîtres qui nous ont volé [sic] 2012 et qui a perdu les élections [sic] l’année prochaine parce qu’ils ne voulaient pas gouverner la minorité dans la république.” Le message était accompagné d’un mème montrant un cortège funèbre. Il poursuit dans un message ultérieur : « Le PQ comme [sic] il a eu sa chance au bâton. Il est temps d’aller au lit. Le PSPP sera bon en 2026 en tant que candidat QS lorsque nous nous allierons avec les restes du #PQ. Interrogé sur ces propos, le parti a enchaîné avec une déclaration de M. Girard : « Je reconnais que mes commentaires étaient inappropriés et je m’en excuse. Ce n’est pas comme ça que je veux faire de la politique et je m’engage dans une campagne positive basée sur des idées fortes pour les gens de la circonscription. » Une nouvelle demande sera soumise sous peu, indique QS.